« C’est la femme qui va sauver le monde arabe » – El Watan, 30/01/18

El Watan logo   par M-F.Gaidi | le 30.01.18 | 15h13

AS Annaba

@El Watan.com

« C’est la femme qui va sauver le monde arabe » a tranché Antoine Sfeir, journaliste et analyste spécialiste du monde arabe, samedi dernier devant un public nombreux à la salle de conférences de l’hôtel Sabri d’Annaba.

L’invité a présenté une conférence intitulée : L’émergence d’un monde nouveau dans le monde arabe.

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« Le monde arabe peut émerger de nouveau » – Liberté, 29/01/18

Liberté logo bleu

Par Ahmed Allia – le 29-01-2018 12:00

AS IF Annaba

© D. R.

L’émergence d’un monde nouveau dans le monde arabe est possible, pour peu que les peuples qui s’en revendiquent dépassent les préjugés et fassent preuve d’objectivité, a affirmé, avant-hier, le politologue Antoine Sfeir, à Annaba, où il a animé une conférence à l’invitation de l’institut français local. “Oui, il y a l’émergence d’un monde nouveau dans le monde arabe, mais Lire la suite

« Il y a une demande de France dans le monde arabe » Filfax, 22/03/17

logo-filfax-272x90  Par Gilles TRIOLIER
Egypte vive-la-revolution-24.jpg

Le soir de la chute de Moubarak, le 11 février 2011 sur la place Tahrir, au Caire (Samuel Forey)

Que reste-t-il des « printemps arabes », six ans après ?

Deux choses principales : les jeunes du monde arabe, qui représentent 70 % de la population, se sont emparés de la rue et ils ne la quitteront plus jamais. Leur parole s’est libérée, et on le voit très bien dans la presse. C’est quelque chose qui est resté, on ne peut pas faire fi aujourd’hui de cet héritage de 2011.  Maintenant, ce que sont devenus les printemps arabes, c’est une autre question.  Lire la suite

Recul du terrorisme djihadiste en Algérie – Liberté, 27/03/17

Liberté logo bleuLE POLITOLOGUE ANTOINE SFEIR ANALYSE LES CAUSES
Antoine Sfeir, directeur de rédaction des Cahiers de l’Orient et président du Centre d’études et de réflexion sur le Proche-Orient, sera demain l’hôte de la ville des Ponts pour parler et débattre des causes du recul de l’islam radical djihadiste en Algérie.

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L’Opep a-t-elle encore la main ? BFM Business, 29/11/16

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bfmbusiness-logoLes Décodeurs de l’éco du mardi 29 novembre présentés par Fabrice Lundy.

Ce serait une première en huit ans si l’Opep parvenait à limiter sa production

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Réajustements diplomatiques

CO 110L’éditorial d’Antoine Sfeir, directeur de la rédaction des Cahiers de l’Orient

Numéro 110 ~ Spécial Iran (printemps 2013)

En trente ans, l’Iran a connu deux révolutions : celle de 1979, qui a vu l’avènement de la République islamique, et celle de 2009, avec la contestation populaire qui a suivi la réélection forcée de Mahmoud Ahmadinejad à la tête de l’État. Y en aura-t-il une troisième à l’occasion des élections présidentielles de juin prochain ? Certains n’ont pas hésité à dire que c’est en réalité à Téhéran, quand les jeunes Iraniens défiaient à la fois les Pasdaran et les milices Bassiji d’Ahmadinejad, que le « printemps arabe » avait commencé. Lire la suite

Commission parlementaire sur les services de renseignement français, 21 février 2013

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21/02/13 Travaux en commission : Audition d’Antoine Sfeir… par LCP

La commission d’enquête sur le fonctionnement des services de renseignement français dans le suivi et la surveillance des mouvements radicaux armés, présidée par Christophe Cavard (Écolo, Gard), a procédé aux trois auditions suivantes :

– Antoine Sfeir, directeur des Cahiers de l’Orient
– Louis Caprioli, ancien responsable de la sous-direction antiterroriste à la direction de la surveillance du territoire (DST)
– Christian Chesnot, grand reporter

Mali / France : les défis à venir

Le leader des putschistes Amadou Sanogo (à gauche) et le président malien Dioncounda Traoré (à droite), le 12 avril 2012 à Bamako. (REUTERS)

Le leader des putschistes Amadou Sanogo (à gauche)
et le président malien Dioncounda Traoré (à droite),
le 12 avril 2012 à Bamako. (REUTERS)

À entendre le président François Hollande, l’opération Serval au Mali serait dans sa phase finale. Pourtant, tout semble commencer aujourd’hui. Après le succès manifeste de l’intervention militaire, de nouveaux problèmes se posent : de la question sécuritaire, dans la région et sur notre sol, à celle de l’avenir des Touareg ; de la reconstruction du Mali à la consolidation des relations franco-algériennes.

Les combattants d’Aqmi et de ses émanations sont à présent coincés dans un territoire situé entre l’armée française, l’Algérie et la Mauritanie, qui ont maintenant fermé leurs frontières, même si cette dernière ligne reste poreuse. Ils restent cependant des cibles mouvantes et insaisissables. Lire la suite

Cernés, les islamistes pourraient lancer des attentats suicides au Mali

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La Presse 25-01-13La Presse, vendredi 25 janvier 2013.

Publié à 06h00 (Montréal, GMT – 6)

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Le Point, 24 janvier 2013

Le Point logo

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Le_Point 24 janvier 2013

BFM Business, mercredi 23 janvier 2013

Invité du 20 h 30 de David Dauba.

L’intervention française au Mali et la visite de François Hollande aux Émirats arabes unis

Interview dans le Good Morning Business de Stéphane Soumier sur BFMTV le 14 janvier 2013.

Hollande en Algérie : le retour d’une France qui parle à tous dans le monde arabe ?

Publié  le 19-12-2012 à 12h14 sur Le Plus du Nouvel Observateur.

Avatar de Antoine Sfeir

par 
Dir. des Cahiers de l’Orient

LE PLUS. François Hollande est en visite pour deux jours en Algérie. Un déplacement aux enjeux politique, symbolique et économique. Mais tant au Maghreb qu’au Proche-Orient, la France n’est plus cette puissance « passerelle », capable de parler avec tout le monde, souligne Antoine Sfeir, président du Centre d’études et de réflexion sur le Proche-Orient. Explications.

Édité et parrainé par Hélène Decommer

François Hollande à Alger, le 19 janvier 2012 (Philippe Wojazer/Reuters)

François Hollande à Alger, le 19 janvier 2012 (Philippe Wojazer/Reuters)

Le grand atout de la France, au Proche-Orient comme en Afrique du Nord, a toujours été d’être la seule puissance à pouvoir parler avec tout le monde.

Cela n’est plus vrai, hélas, depuis 2005. L’assassinat de l’ancien président de Conseil libanais, Rafic Hariri, en février de cette année-là, a déclenché l’ire foudroyante de son ami le président Chirac qui, à peine la tragédie survenue, a reproché à son ancien protégé, le chef de l’État syrien, d’en être le commanditaire. Lire la suite